par Lin Noueihed
TRIPOLI (Reuters) - Mouammar Kadhafi s'est dit prêt samedi à un cessez-le-feu et à des négociations si l'Otan mettait fin à ses bombardements, tout en excluant son départ de la tête de la Libye.
Cette proposition a été rapidement rejetée par les insurgés et par l'Alliance atlantique, qui a pris fin mars le commandement des opérations militaires internationales en Libye.
Pour les insurgés, qui ont pris les armes depuis mi-février, le temps de la négociation est terminé. L'Otan a pour sa part déclaré qu'elle poursuivrait ses bombardements tant que les populations civiles seraient menacées en Libye, conformément à la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'Onu adoptée mi-mars.
Malgré six semaines de bombardements aériens par l'Alliance atlantique, la situation semble bloquée sur le terrain. L'est de la Libye, que les forces gouvernementales semblaient sur le point de faire tomber lorsque l'Otan est intervenue, reste tenue par les insurgés tandis que le régime contrôle l'ouest du pays, hormis la ville de Misrata qu'il assiège et les montagnes proches de la frontière tunisienne.
Alors qu'aucun camp ne semble en mesure de prendre le dessus, Mouammar Kadhafi a adopté un ton conciliant lors d'une allocution télévisée de 80 minutes, diffusée tôt samedi.
La Libye, a-t-il assuré, se tenant assis derrière un bureau, "est toujours prête à conclure un cessez-le-feu (...) mais un cessez-le-feu ne peut pas ... lire la suite cliquer ici
source d'article http://www.lepoint.fr/
TRIPOLI (Reuters) - Mouammar Kadhafi s'est dit prêt samedi à un cessez-le-feu et à des négociations si l'Otan mettait fin à ses bombardements, tout en excluant son départ de la tête de la Libye.
Cette proposition a été rapidement rejetée par les insurgés et par l'Alliance atlantique, qui a pris fin mars le commandement des opérations militaires internationales en Libye.
Pour les insurgés, qui ont pris les armes depuis mi-février, le temps de la négociation est terminé. L'Otan a pour sa part déclaré qu'elle poursuivrait ses bombardements tant que les populations civiles seraient menacées en Libye, conformément à la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'Onu adoptée mi-mars.
Malgré six semaines de bombardements aériens par l'Alliance atlantique, la situation semble bloquée sur le terrain. L'est de la Libye, que les forces gouvernementales semblaient sur le point de faire tomber lorsque l'Otan est intervenue, reste tenue par les insurgés tandis que le régime contrôle l'ouest du pays, hormis la ville de Misrata qu'il assiège et les montagnes proches de la frontière tunisienne.
Alors qu'aucun camp ne semble en mesure de prendre le dessus, Mouammar Kadhafi a adopté un ton conciliant lors d'une allocution télévisée de 80 minutes, diffusée tôt samedi.
La Libye, a-t-il assuré, se tenant assis derrière un bureau, "est toujours prête à conclure un cessez-le-feu (...) mais un cessez-le-feu ne peut pas ... lire la suite cliquer ici
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