Henri Bedimo a plus changé de clubs que de protège-tibias, son objet fétiche. Grenoble, Toulouse, Le Havre, Châteauroux et Lens ont déjà découvert le latéral gauche camerounais. Désormais, ce sont les fans montpelliérains qui vont apprendre à connaître ce Lion Indomptable. Echaudé par l’échec de la venue d’André Luiz, annoncée trop tôt, le club héraultais a travaillé dans l’ombre pour trouver son latéral gauche. On pensait le club à la recherche de l’oiseau rare en Amérique du Sud : il l’a trouvé dans le Nord. Auteur d’une saison correcte malgré la débandade lensoise, Bedimo a prouvé qu’il avait les qualités pour évoluer en Ligue 1. Intelligent, tonique physiquement mais surtout doué avec les pieds, ce latéral, qui peut jouer au milieu, avait le profil pour séduire de nombreux clubs. Mais c’est Montpellier qui a été le plus persuasif. Tant pis pour Rennes, notamment.
Le club de Louis Nicollin, tapi dans l’ombre, est sorti de sa tanière cette semaine pour recruter le joueur et le faire signer quatre ans. A 27 ans, Bedimo réalise un joli transfert et va avoir l’occasion de confirmer les qualités entrevues à Lens. L’international camerounais va en effet succéder dans l’effectif à Xavier Collin (en fin de contrat) et dans l’équipe première à Cyril Jeunechamp, le latéral gauche droitier qui commence à prendre de l’âge et dont les suspensions à répétition sont un frein pour Montpellier. Joueur respectueux des anciens, Bedimo est aussi retenu pour ses qualités de guerrier au sein d’un groupe qui ne manque pas de testostérone. Heureux de signer dans l’Hérault, Bedimo échappe donc à un retour en L2 avec Lens qui l’avait affecté : « C’est très difficile car la plupart des joueurs n’avaient jamais vécu une descente. C’est très difficile car au plus profond de nous-mêmes, on se disait qu’il y avait la place de rester dans l’élite. La pilule est difficile à avaler. »
Le joueur avait également indiqué sur Onzeo qu’au « quotidien, c’était vraiment pénible ». Tombé de haut, le natif de Douala a vite décidé de quitter Lens malgré ses deux ans de contrat, permettant à son club de faire rentrer une indemnité de transfert de 2 millions environ. A Montpellier, il ne devrait pas avoir de mal à s’acclimater. Débarqué à 15 ans en France (à Grenoble), il a démontré qu’il était capable de supporter le changement et les frimas. A Montpellier avec un climat moins hostile, il sera à l’aise. Il saura aussi faire attention pour séduire le vestiaire. Au Havre, il n’avait jamais réellement été intégré à la vie de groupe. Avec toutes ses expériences, malheureuses (il a quitté Grenoble en catimini, ses passages au Havre, à Toulouse et à Lens ont été difficiles humainement) comme heureuses (à Châteauroux), Bedimo a aujourd’hui l’expérience nécessaire pour réussir pour de bon.
Le club de Louis Nicollin, tapi dans l’ombre, est sorti de sa tanière cette semaine pour recruter le joueur et le faire signer quatre ans. A 27 ans, Bedimo réalise un joli transfert et va avoir l’occasion de confirmer les qualités entrevues à Lens. L’international camerounais va en effet succéder dans l’effectif à Xavier Collin (en fin de contrat) et dans l’équipe première à Cyril Jeunechamp, le latéral gauche droitier qui commence à prendre de l’âge et dont les suspensions à répétition sont un frein pour Montpellier. Joueur respectueux des anciens, Bedimo est aussi retenu pour ses qualités de guerrier au sein d’un groupe qui ne manque pas de testostérone. Heureux de signer dans l’Hérault, Bedimo échappe donc à un retour en L2 avec Lens qui l’avait affecté : « C’est très difficile car la plupart des joueurs n’avaient jamais vécu une descente. C’est très difficile car au plus profond de nous-mêmes, on se disait qu’il y avait la place de rester dans l’élite. La pilule est difficile à avaler. »
Le joueur avait également indiqué sur Onzeo qu’au « quotidien, c’était vraiment pénible ». Tombé de haut, le natif de Douala a vite décidé de quitter Lens malgré ses deux ans de contrat, permettant à son club de faire rentrer une indemnité de transfert de 2 millions environ. A Montpellier, il ne devrait pas avoir de mal à s’acclimater. Débarqué à 15 ans en France (à Grenoble), il a démontré qu’il était capable de supporter le changement et les frimas. A Montpellier avec un climat moins hostile, il sera à l’aise. Il saura aussi faire attention pour séduire le vestiaire. Au Havre, il n’avait jamais réellement été intégré à la vie de groupe. Avec toutes ses expériences, malheureuses (il a quitté Grenoble en catimini, ses passages au Havre, à Toulouse et à Lens ont été difficiles humainement) comme heureuses (à Châteauroux), Bedimo a aujourd’hui l’expérience nécessaire pour réussir pour de bon.