15h00: Le cheval de Bayrou
L'Express a concocté un dossier sur le patrimoine des candidats. Lors de cette enquête, François Bayrou avait déclaré aux journalistes: "Je n'ai pas de chevaux de course." Selon lexpress.fr, une jument, baptisée Zangra, "courait pourtant sous ses couleurs (toque noire et casaque orange, comme le MoDem), le 27 janvier, à Pau, et le 17 février, à Mont-de-Marsan". Le candidat centriste, par ailleurs éleveur aurait précisé qu'il détient "un cinquième" des parts de Zangra.
L'Express a concocté un dossier sur le patrimoine des candidats. Lors de cette enquête, François Bayrou avait déclaré aux journalistes: "Je n'ai pas de chevaux de course." Selon lexpress.fr, une jument, baptisée Zangra, "courait pourtant sous ses couleurs (toque noire et casaque orange, comme le MoDem), le 27 janvier, à Pau, et le 17 février, à Mont-de-Marsan". Le candidat centriste, par ailleurs éleveur aurait précisé qu'il détient "un cinquième" des parts de Zangra.
14h30: François Hollande veut retirer les troupes d'Afghanistan
François Hollande, candidat PS à l'élection présidentielle, a réaffirmé sa volonté de retirer d'ici "fin 2012" les forces combattantes françaises d'Afghanistan, s'il est élu en mai chef de l'Etat, lors d'une allocution consacrée dimanche à Paris aux questions de défense. "Au lendemain du 6 mai, si les Français m'en donnent mandat, la France engagera le retrait de ses troupes combattantes d'Afghanistan", a-t-il déclaré devant environ 300 personnes, dont de nombreux responsable du PS et d'anciens ministres et secrétaires d'Etat socialistes à la Défense.
François Hollande, candidat PS à l'élection présidentielle, a réaffirmé sa volonté de retirer d'ici "fin 2012" les forces combattantes françaises d'Afghanistan, s'il est élu en mai chef de l'Etat, lors d'une allocution consacrée dimanche à Paris aux questions de défense. "Au lendemain du 6 mai, si les Français m'en donnent mandat, la France engagera le retrait de ses troupes combattantes d'Afghanistan", a-t-il déclaré devant environ 300 personnes, dont de nombreux responsable du PS et d'anciens ministres et secrétaires d'Etat socialistes à la Défense.
13h39: Manuel Valls s'exprime sur Canal + à propos des polémiques sur la viande halal et l'immigration
"On utilise le problème de l'immigration alors que le problème est l'intégration, a expliqué Manuel Valls avant de préciser comment un gouvernement socialiste déciderait des régularisations au cas par cas. "Il faut des critêres de présence, de famille, de travail. Si on ne correspond pas à ces critères, on expulse."
"On utilise le problème de l'immigration alors que le problème est l'intégration, a expliqué Manuel Valls avant de préciser comment un gouvernement socialiste déciderait des régularisations au cas par cas. "Il faut des critêres de présence, de famille, de travail. Si on ne correspond pas à ces critères, on expulse."
13h34: Invité du Grand rendez-vous, dimanche, Alain Juppé est confiant:
Juppé : "Sarkozy va gagner" par Europe1fr
Juppé : "Sarkozy va gagner" par Europe1fr
13h10: Un studio de France Inter envahit par des anti-nucléaires
Le studio de France Inter a été brièvement envahi dimanche matin par des manifestants anti-nucléaires qui ont fait irruption pendant l'émission de Stéphane Paoli. Les manifestants se sont distinctement prononcés "pour l'arrêt du nucléaire" en ce jour anniversaire de la catastrophe de Fukushima au Japon. Le journaliste leur a vainement intimé de "sortir immédiatement du studio". L'algarade a commencé vers 12h10 et a duré plusieurs minutes en direct. "Ce sont de jeunes manifestants... On ne prend pas l'antenne comme ça", a expliqué Stéphane Paoli en comprenant qu'il était resté à l'antenne tout le temps.
11h45: Alain Juppé défend Sarkozy sur le terme "Epuration"
Le ministre des Affaires étrangère, a réagi dimanche sur Europe 1 à l'emploi du mot "épuration" par Nicolas Sarkozy à propos de François Hollande. "On a fait un scandale", a concédé le ministre, invité dimanche du Grand rendez-vous Europe 1/i>Télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France. "Cela consiste à virer d'un certain nombre de structure des gens qui ne plaisent pas", a-t-il affirmé. "Virer les ambassadeurs et les hauts fonctionnaires trop proches du pouvoir […], quelles que soient les connotations historiques, cela s'appelle de l'épuration".
Le ministre des Affaires étrangère, a réagi dimanche sur Europe 1 à l'emploi du mot "épuration" par Nicolas Sarkozy à propos de François Hollande. "On a fait un scandale", a concédé le ministre, invité dimanche du Grand rendez-vous Europe 1/i>Télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France. "Cela consiste à virer d'un certain nombre de structure des gens qui ne plaisent pas", a-t-il affirmé. "Virer les ambassadeurs et les hauts fonctionnaires trop proches du pouvoir […], quelles que soient les connotations historiques, cela s'appelle de l'épuration".
11h10: Eva Joly s'exprime dans le JDD.fr, un an après Fukushima
Et la candidate écolo mène une charge anti-nucléaire. "Faut-il attendre un accident de type Fukushima pour sortir du nucléaire? Le nucléaire paraît peu cher car on dissimule les coûts cachés : dégradation de l’environnement, prix du stockage des déchets et du démantèlement. La Cour des comptes estime le coût d’un accident type Fukushima en France à 1.000 milliards!", déclare-t-elle.
Et la candidate écolo mène une charge anti-nucléaire. "Faut-il attendre un accident de type Fukushima pour sortir du nucléaire? Le nucléaire paraît peu cher car on dissimule les coûts cachés : dégradation de l’environnement, prix du stockage des déchets et du démantèlement. La Cour des comptes estime le coût d’un accident type Fukushima en France à 1.000 milliards!", déclare-t-elle.
10h44: Thomas Hollande s'exprime dans Le Parisien
L'ainé des enfant de Ségolène Royal et François Hollande y évoque la campagne de son père et notamment son rôle dans cette avanture. "Forcément. Mon père me demande parfois des conseils. Notamment sur la question des quartiers populaires, de la jeunesse. Le thème de la banlieue n’a pas été vraiment abordé. François Hollande n’a pas encore réussi à établir un pont avec les quartiers populaires, contrairement à 2007 avec Ségolène Royal. J’essaie donc de l’aider à construire ce lien en organisant des rencontres, des déplacements", déclare-t-il avant de comparer cette campagne à celle de 2007. "Même si je note que les meetings sont pleins, il n’y a pas la même ferveur, le même engouement. Il y a cinq ans, les gens venaient déjà convaincus aux meetings de Ségolène Royal. Là, je parlerais plutôt de curiosité. Le contexte n’est plus le même. Le désespoir est réel et beaucoup de gens ne croient plus dans la politique."
L'ainé des enfant de Ségolène Royal et François Hollande y évoque la campagne de son père et notamment son rôle dans cette avanture. "Forcément. Mon père me demande parfois des conseils. Notamment sur la question des quartiers populaires, de la jeunesse. Le thème de la banlieue n’a pas été vraiment abordé. François Hollande n’a pas encore réussi à établir un pont avec les quartiers populaires, contrairement à 2007 avec Ségolène Royal. J’essaie donc de l’aider à construire ce lien en organisant des rencontres, des déplacements", déclare-t-il avant de comparer cette campagne à celle de 2007. "Même si je note que les meetings sont pleins, il n’y a pas la même ferveur, le même engouement. Il y a cinq ans, les gens venaient déjà convaincus aux meetings de Ségolène Royal. Là, je parlerais plutôt de curiosité. Le contexte n’est plus le même. Le désespoir est réel et beaucoup de gens ne croient plus dans la politique."
10h26: Marine Le Pen à la peine
Liberation.fr estime que Marine Le Pen, qui a prévu un budget de 8, 2 millions d'euros pour sa campagne, n'en a réuni que la moitié. Les banques hésitent à prêter de l’argent à la présidente du FN tant qu’elle n’est pas assurée d’avoir réuni les 500 paraphes. Le Pen ferait donc pour le moment appel à Cotelec, une structure de financement du FN toujours présidée par son père.
Liberation.fr estime que Marine Le Pen, qui a prévu un budget de 8, 2 millions d'euros pour sa campagne, n'en a réuni que la moitié. Les banques hésitent à prêter de l’argent à la présidente du FN tant qu’elle n’est pas assurée d’avoir réuni les 500 paraphes. Le Pen ferait donc pour le moment appel à Cotelec, une structure de financement du FN toujours présidée par son père.
9h59: Sarkozy à la mairie de Paris?
Lue dans Le JDD, cette information qui explique que Sarkozy lorgnerait sur la mairie de Paris s'il perd l'élection présidentielle. "Sa stratégie sera de se mettre en retrait quelques mois puis de se relancer par une candidature aux municipales à Paris en 2014. Il se fait élire de Paris et revient ainsi dans la course à la présidentielle en 2017", estime Patrick Devedjian, le président du Conseil général des Hauts-de-Seine. Selon le même, Sarkozy aurait évoqué son retrait de la vie politique "pour faire plaisir à Carla".
Lue dans Le JDD, cette information qui explique que Sarkozy lorgnerait sur la mairie de Paris s'il perd l'élection présidentielle. "Sa stratégie sera de se mettre en retrait quelques mois puis de se relancer par une candidature aux municipales à Paris en 2014. Il se fait élire de Paris et revient ainsi dans la course à la présidentielle en 2017", estime Patrick Devedjian, le président du Conseil général des Hauts-de-Seine. Selon le même, Sarkozy aurait évoqué son retrait de la vie politique "pour faire plaisir à Carla".
9h56:DDV ne veut pas se rallier
Dominique de Villepin, candidat à la présidentielle, a démenti aujourd'hui auprès de l'Agence France-Presse les rumeurs de presse selon lesquelles il s'apprêterait à renoncer à être candidat à la présidentielle et à rallier Nicolas Sarkozy. "Ces rumeurs sont totalement infondées", a déclaré à l'AFP l'ex-premier ministre et fondateur de République solidaire, interrogé sur des informations du Parisien faisant état d'un retrait de sa candidature et de son ralliement la semaine prochaine au président-candidat.Dominique de Villepin, qui a recueilli environ 450 parrainages sur les 500 requis pour pouvoir se présenter.
Dominique de Villepin, candidat à la présidentielle, a démenti aujourd'hui auprès de l'Agence France-Presse les rumeurs de presse selon lesquelles il s'apprêterait à renoncer à être candidat à la présidentielle et à rallier Nicolas Sarkozy. "Ces rumeurs sont totalement infondées", a déclaré à l'AFP l'ex-premier ministre et fondateur de République solidaire, interrogé sur des informations du Parisien faisant état d'un retrait de sa candidature et de son ralliement la semaine prochaine au président-candidat.Dominique de Villepin, qui a recueilli environ 450 parrainages sur les 500 requis pour pouvoir se présenter.