Le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) a été arrêté automatiquement samedi. « Cet événement n'a pas eu de conséquence sur la sûreté des installations, ni sur la sécurité du personnel, ni sur l'environnement », assure la direction de la centrale dans un communiqué.
Ces dernières semaines, la centrale a déjà connu trois arrêts intempestifs. Cette fois, c'est la fermeture d'une vanne qui a entrainé l'arrêt automatique de l'unité de production. « Une intervention sur un réservoir d'air comprimé de l'unité de production n°1, actuellement à l'arrêt pour maintenance, a entraîné la fermeture d'une vanne pneumatique pour l'appoint en eau de Moselle de l'aéroréfrigérant de l'unité de production n°2, en fonctionnement », explique la centrale. L'intervention qui a provoqué l'arrêt de samedi «s'est réalisée dans un bâtiment commun aux unités de production 1 et 2, à distance d'une centaine de mètres de celles-ci, dans la partie non nucléaire des installations. Les techniciens de la centrale de Cattenom procèdent aux contrôles et interventions qui permettront de redémarrer l'unité de production n°2 dans les meilleurs délais », ajoute la centrale.
Avec ses quatre réacteurs de 1300 mégawatts chacun mis en service entre 1986 et 1992, Cattenom est la septième centrale au monde en puissance installée et la deuxième en Francepour sa production d'électricité.
Ces dernières semaines, la centrale a déjà connu trois arrêts intempestifs. Cette fois, c'est la fermeture d'une vanne qui a entrainé l'arrêt automatique de l'unité de production. « Une intervention sur un réservoir d'air comprimé de l'unité de production n°1, actuellement à l'arrêt pour maintenance, a entraîné la fermeture d'une vanne pneumatique pour l'appoint en eau de Moselle de l'aéroréfrigérant de l'unité de production n°2, en fonctionnement », explique la centrale. L'intervention qui a provoqué l'arrêt de samedi «s'est réalisée dans un bâtiment commun aux unités de production 1 et 2, à distance d'une centaine de mètres de celles-ci, dans la partie non nucléaire des installations. Les techniciens de la centrale de Cattenom procèdent aux contrôles et interventions qui permettront de redémarrer l'unité de production n°2 dans les meilleurs délais », ajoute la centrale.
Avec ses quatre réacteurs de 1300 mégawatts chacun mis en service entre 1986 et 1992, Cattenom est la septième centrale au monde en puissance installée et la deuxième en Francepour sa production d'électricité.
Des antinucléaires s'invitent sur France Inter
En ce jour anniversaire de la catastrophe de Fukushima, ils étaient venus clamer leur slogan « pour l'arrêt du nucléaire ». Dimanche midi, l'antenne de France Inter a été brièvement perturbée par des manifestants antinucléaires pendant l'émission en direct de Stéphane Paoli. Assis parmi le public, les manifestants, au nombre de dix selon la directrice adjointe de la radio Laurence Bloch, se sont levés après le début de l'émission. Le journaliste, resté en direct tout au long de l'algarade, leur a vainement intimé de « sortir immédiatement du studio ». L'incident, sans violence, a commencé vers 12 heures 10 et a duré plusieurs minutes. Ils sont ensuite partis dans le calme. « Stéphane Paoli a été très clair », ajoute Laurence Bloch. S'ils étaient venus le trouver avant l'émission ils auraient pu discuter, mais la prise sauvage de l'antenne est inadmissible. »
En ce jour anniversaire de la catastrophe de Fukushima, ils étaient venus clamer leur slogan « pour l'arrêt du nucléaire ». Dimanche midi, l'antenne de France Inter a été brièvement perturbée par des manifestants antinucléaires pendant l'émission en direct de Stéphane Paoli. Assis parmi le public, les manifestants, au nombre de dix selon la directrice adjointe de la radio Laurence Bloch, se sont levés après le début de l'émission. Le journaliste, resté en direct tout au long de l'algarade, leur a vainement intimé de « sortir immédiatement du studio ». L'incident, sans violence, a commencé vers 12 heures 10 et a duré plusieurs minutes. Ils sont ensuite partis dans le calme. « Stéphane Paoli a été très clair », ajoute Laurence Bloch. S'ils étaient venus le trouver avant l'émission ils auraient pu discuter, mais la prise sauvage de l'antenne est inadmissible. »
LeParisien.fr