Comme à chaque printemps, le pollen fait un retour en force avec son lot d'allergies. ( DR )
D.LC | 16.03.2012, 14h18 | Mise à jour : 15h46
«Les arbres se hâtent, les bourgeons se préparent, les chatons s'allongent, la fin du mois de mars sera terrible pour les allergiques», prévient Michel Thibaudon, directeur du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA).
Plus concrètement, une «arrivée massive» des pollens de bouleau est prévue entre le 23 et le 28 mars, selon les régions.
Le risque allergique lié au cyprès sur le pourtour méditerranéen «est et restera très élevé», tandis que «partout ailleurs, les noisetiers et les aulnes continueront à chatouiller les narines».
Pour être complet, les pollens de peupliers sont présents, «mais le risque allergique sera faible»,selon le RNSA qui publie un bulletin allergo-pollinique hebdomadaire.
Bien se préparer aux symptômes grâce au web
Les cabinets de dermatologues vont commencer à se remplir à l'approche des beaux jours qui apportent, en plus du soleil, leur lot de petits désagréments pour l'organisme.
A vous de prendre les devants en anticipant. Une fois de plus, Internet se révèle un allié précieux avec des sites comme Pollendiary qui propose de suivre l'évolution de vos symptômes sur une période chargée en pollen. Encore plus pratique, le site du RNSA mesure la pollinisation et détaille les risques ville par ville.
Mais attention cela ne remplace pas une visite chez l'allergologue dès que les yeux piquent ou que le nez gratte jusqu'à la déraison. Il n'est pas encore trop tard pour se faire désensibiliser et s'éviter un «rhume des foins» carabiné.
Plus concrètement, une «arrivée massive» des pollens de bouleau est prévue entre le 23 et le 28 mars, selon les régions.
Pour être complet, les pollens de peupliers sont présents, «mais le risque allergique sera faible»,selon le RNSA qui publie un bulletin allergo-pollinique hebdomadaire.
Bien se préparer aux symptômes grâce au web
Les cabinets de dermatologues vont commencer à se remplir à l'approche des beaux jours qui apportent, en plus du soleil, leur lot de petits désagréments pour l'organisme.
A vous de prendre les devants en anticipant. Une fois de plus, Internet se révèle un allié précieux avec des sites comme Pollendiary qui propose de suivre l'évolution de vos symptômes sur une période chargée en pollen. Encore plus pratique, le site du RNSA mesure la pollinisation et détaille les risques ville par ville.
Mais attention cela ne remplace pas une visite chez l'allergologue dès que les yeux piquent ou que le nez gratte jusqu'à la déraison. Il n'est pas encore trop tard pour se faire désensibiliser et s'éviter un «rhume des foins» carabiné.
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