Immobilier : un m2 dans l'ancien à Paris vaut désormais... 8390 euros
B.M. | Publié le 23.02.2012, 09h16 | Mise à jour : 15h51
La pierre n'a jamais été aussi chère ! Les prix des logements anciens à Paris ont battu un nouveau record au quatrième trimestre 2011. Le tarif du mètre carré moyen atteint désormais 8390 euros soit une hausse de 14,7% sur l'ensemble de l'année !
Pour la France entière, la hausse des prix des logements anciens sur l'ensemble de l'année est de 4,3%.
La hausse atteint 6,7% pour les prix des appartements et 2,6% pour le prix des maisons. En province, les prix ont été quasiment stables au quatrième trimestre, avec une légère baisse de 0,1%.
Vers une baisse en Ile-de-France ?
L'observation précise des chiffres fournis par l'Insee et la chambre des notaires d'Ile-de-France monte néanmoins un ralentissement soudain de la hausse dans le dernier trimestre 2011. Le nombre de vente a ainsi baissé de 22% par rapport à l'année précédente qui avait néanmoins été un cru exceptionnel, porté par de nombreuses aides fiscales et soutien financier à l'investissement.
Durant les trois derniers mois de l'année, les prix ont stagné à Paris intra muros, dans les Hauts-de-Seine et les Yvelines. Dans le reste de la région, ils ont commencé à baisser. Une tendance qui pourrait se poursuivre en 2012. La Chambre des notaires de Paris/Ile-de-France estime en effet que les prix pourraient baisser dans une fourchette de 5 à 10 %. « Mais cette rupture avec le long cycle haussier (...) ne sera durable que si la construction neuve s'accélère durablement en Ile-de-France pendant plusieurs années », préviennent les notaires.
Pour la France entière, la hausse des prix des logements anciens sur l'ensemble de l'année est de 4,3%.
Vers une baisse en Ile-de-France ?
L'observation précise des chiffres fournis par l'Insee et la chambre des notaires d'Ile-de-France monte néanmoins un ralentissement soudain de la hausse dans le dernier trimestre 2011. Le nombre de vente a ainsi baissé de 22% par rapport à l'année précédente qui avait néanmoins été un cru exceptionnel, porté par de nombreuses aides fiscales et soutien financier à l'investissement.
Durant les trois derniers mois de l'année, les prix ont stagné à Paris intra muros, dans les Hauts-de-Seine et les Yvelines. Dans le reste de la région, ils ont commencé à baisser. Une tendance qui pourrait se poursuivre en 2012. La Chambre des notaires de Paris/Ile-de-France estime en effet que les prix pourraient baisser dans une fourchette de 5 à 10 %. « Mais cette rupture avec le long cycle haussier (...) ne sera durable que si la construction neuve s'accélère durablement en Ile-de-France pendant plusieurs années », préviennent les notaires.